C’est parce que j'ai connu les mêmes problématiques dans le monde de l'entreprise que je me suis forgé une manière personnelle de travailler, proche des gens et adaptée à la singularité de chacun.
Si je préfère l’appellation d'« accompagnement » à celle de « sophrologie » c’est que je ne suis pas adepte d’une méthode ou de techniques particulières, mais plutôt d’une posture humaniste et souple.
Et je pense que le mot « suivi » convient bien pour remédier aux pathologies de la vie moderne : rapidité, stress, compétitivité, rupture des liens familiaux, discontinuité de la vie relationnelle, solitude et isolement, sont les maux qui ravagent les femmes de notre temps.
Les patients que je reçois sont les témoins de cette époque, et leur parole me semble toujours précieuse, avec leur désir d’être entendus et de refaire du lien.
Quelques mots sur mon parcours
Je suis venue travailler à Paris dans le monde de la communication et dans l'industrie. En 2017, j'y ai découvert sur la pause du midi des ateliers de sophrologie ; ça a transformé mon quotidien.
J’étais alors maman de 3 enfants, en proie à la surcharge mentale et au bord du burn out, sans m'en rendre compte.
J'ai voulu comprendre et j'ai commencé ma formation de sophrologue puis obtenu le diplôme en 2020.
J’ai créé mon cabinet pour que dans cet espace, vous vous sentiez en sécurité et puissiez profiter à chaque séance.
Je me suis formée à beaucoup d'autres outils dont l'aromathérapie que j'utilise beaucoup pour la gestion des émotions, notamment.
Au cours de ces dernières années, j’ai continué à intervenir dans des écoles et des centres sociaux pour enrichir ma pratique et pouvoir aider mes patients du mieux que je pouvais.
